02 02 2022 : En raison d'un problème technique sur nos lignes fixes, nous sommes joignables par mail et sur nos téléphonnes portables, merci.
AUA Paul Chemetov architectes urbanistes associés
  • Projets
  • Actualités
  • Médias
  • À propos
  • Contact
Projets

La Grande Galerie de l'Evolution - MNHN

Paris

1987 – 1994


Statut : Réalisation
Lieu : Paris
Programme : Équipements publics
Réhabilitation de l’ancienne galerie de zoologie du Museum d’Histoire Naturelle (bâtiment classé) : conception scénographique et muséo-graphique de l’exposition permanente

Superficie : 17 000 m² SHON
Coût : 61 000 000 €
Calendrier : 1987 — 1994

Maîtrise d’œuvre : Paul Chemetov et Borja Huidobro, architectes. Paul Chemetov, architecte mandataire de la maîtrise d’oeuvre. Gérard Liucci, Gérard Chauvelin, Thomas Dryjski, Bernard Guillen assistants
Maîtrise d’ouvrage : Secrétariat d'Etat aux Grands Travaux
Structures : Marc Miriam
Scénographie : René Allio
Muséographie : AD Sign, Roberto Benavente
Paysage : Lattitude Nord
Bureaux d'études : OTH, BIEF
Economie : OTH


L’esprit de la rénovation doit beaucoup au théâtre. Le centre de l’édifice a été traité comme un plateau de salle de spectacles, avec ses dessous qui accueillent l’exposition consacrée aux fonds marins et son plancher parcouru d’une caravane d’animaux naturalisés. La verrière a fait place à ce que l’architecte et le scénographe décrivent comme un ciel actif, qui reproduit par des moyens artificiels, pendant le temps d’un cycle d’environ une heure quarante, la course du soleil pendant la journée. Sur l’un des grands côtés du volume ont été regroupées les circulations verticales. Des ascenseurs permettent aux visiteurs de suivre le scénario de l’exposition divisé en trois actes : le spectacle de la diversité du vivant ; l’évolution de la vie ; l’homme facteur d’évolution. Les machines transparentes montent dans le noir et semblent effleurer les oiseaux qui accompagnent l’ascension. Chaque vitrine est en elle-même un petit théâtre avec son cadre, ses frises, sa mécanique entièrement cachée et son éclairage réalisé à partir de fibres optiques et de projecteurs directionnels miniatures.

Projets

L’esprit de la rénovation doit beaucoup au théâtre. Le centre de l’édifice a été traité comme un plateau de salle de spectacles, avec ses dessous qui accueillent l’exposition consacrée aux fonds marins et son plancher parcouru d’une caravane d’animaux naturalisés. La verrière a fait place à ce que l’architecte et le scénographe décrivent comme un ciel actif, qui reproduit par des moyens artificiels, pendant le temps d’un cycle d’environ une heure quarante, la course du soleil pendant la journée. Sur l’un des grands côtés du volume ont été regroupées les circulations verticales. Des ascenseurs permettent aux visiteurs de suivre le scénario de l’exposition divisé en trois actes : le spectacle de la diversité du vivant ; l’évolution de la vie ; l’homme facteur d’évolution. Les machines transparentes montent dans le noir et semblent effleurer les oiseaux qui accompagnent l’ascension. Chaque vitrine est en elle-même un petit théâtre avec son cadre, ses frises, sa mécanique entièrement cachée et son éclairage réalisé à partir de fibres optiques et de projecteurs directionnels miniatures.