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AUA Paul Chemetov architectes urbanistes associés
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Projets

Hôtel industriel

Pantin

1987 – 1989


Statut : Réalisation
Lieu : Pantin
Programme : Commerces
Centre d’activités polyvalent, d’un hôtel de 90 chambres, d’un immeuble de bureaux et d’un parking souterrain de 70 places

Superficie : Centre d'activités : 49 453 m² SHON, Bureaux : 1 106 m² SHON, Parking : 4 230 m² SHON.
Coût : 13 400 000 €
Calendrier : 1987 — 1989

Maîtrise d’œuvre : Paul Chemetov, architecte mandataire de la maîtrise d’oeuvre. Paul Chemetov et Borja Huidobro, architectes assistés de Gilles Margot-Duclos et de Jacques Sebbag
Maîtrise d’ouvrage : SEMIIC Promotion
Bureau d'études : BERIM


Mêlant le béton aux éléments métalliques avec ses vastes nefs soutenues par 210 piliers, le centre d’activités de l’Ourcq semble être une basilique moderne ; c’est-à-dire, au sens antique du terme, un espace voué au commerce et aux affaires. La vocation du centre est d’être «multi-usages». Le centre de l’Ourcq est un peu comme une ville dans la ville, avec sa grande place et ses rues intérieures. Sur l’un ou l’autre de ses trois niveaux, tous les types d’entreprises peuvent s’installer. Le rez-de-chaussée est le domaine privilégié des activités lourdes, et l’architecture offre une hauteur libre de 6 mètres qui autorise des charges au sol de 5 tonnes/m². Le 1er étage est destiné aux activités plus légères. Les hauteurs libres atteignent ou dépassent les cinq mètres et le sol accepte des charges qui peuvent aller jusqu’à 1.5 tonnes/m². Des rampes d’accès permettent aux voitures et aux camionnettes de monter jusqu’à cet étage. Plus classique, le second étage, calme et lumineux, est destiné aux activités de pointe et aux bureaux. Un bardage métallique, galvanisé et prélaqué, habille les façades. De fines toitures en tôle cintrée protègent les coursives extérieures et couronnent l’édifice : l’image est aérienne. Derrière la ligne épurée des façades se cache une puissante structure béton. La structure métallique, volontairement apparente, souligne le caractère industriel de la réalisation.

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Mêlant le béton aux éléments métalliques avec ses vastes nefs soutenues par 210 piliers, le centre d’activités de l’Ourcq semble être une basilique moderne ; c’est-à-dire, au sens antique du terme, un espace voué au commerce et aux affaires. La vocation du centre est d’être «multi-usages». Le centre de l’Ourcq est un peu comme une ville dans la ville, avec sa grande place et ses rues intérieures. Sur l’un ou l’autre de ses trois niveaux, tous les types d’entreprises peuvent s’installer. Le rez-de-chaussée est le domaine privilégié des activités lourdes, et l’architecture offre une hauteur libre de 6 mètres qui autorise des charges au sol de 5 tonnes/m². Le 1er étage est destiné aux activités plus légères. Les hauteurs libres atteignent ou dépassent les cinq mètres et le sol accepte des charges qui peuvent aller jusqu’à 1.5 tonnes/m². Des rampes d’accès permettent aux voitures et aux camionnettes de monter jusqu’à cet étage. Plus classique, le second étage, calme et lumineux, est destiné aux activités de pointe et aux bureaux. Un bardage métallique, galvanisé et prélaqué, habille les façades. De fines toitures en tôle cintrée protègent les coursives extérieures et couronnent l’édifice : l’image est aérienne. Derrière la ligne épurée des façades se cache une puissante structure béton. La structure métallique, volontairement apparente, souligne le caractère industriel de la réalisation.